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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 06:14

 

 

sélection de conférences

 


  YOM KIPOUR
Une grande aventure pour Kipour
Jonas, prophète malgré lui
par Philippe Haddad
Quel pardon possible
Yom kipour et le rapport à autrui
par Roland Goetschel
Prière de kipour
"Souviens-toi de nous pour la vie" 
par Daniel Elkouby
La part de l'homme dans son pardon
A'harei Mot-Kedoshim: une loi responsabilisante 
par Tamar Schwartz

 

 

Que disait Manitou ?
Retrouvez les enregistrements sonores de quelques cours de Manitou sur les fêtes de Tichri

 

Yom kipour 
Kipour, la kedoucha
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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 06:12

 

Par universtorah



Le repentir



Le jour de Roch Hachana, nous proclamons solennellement: “Le repentir, la prière et la charité écartent l’arrêt funeste". 

Le processus du repentir Le processus du repentir et de la prière fait que le coupable n’est plus coupable: c’est un autre homme; le Ba’al Téchouva a résolu ses contradictions; il devient par là même étranger à sa faute. Le châtiment concerne donc la personne, mais non la faute commise, car une fois accomplie, le péché acquiert une autonomie. Il devient indépendant de son auteur et nécessite réparation. 

Ainsi, lorsque Réouven a volé une somme d’argent à Yossèf, il sera jugé et condamné. Il peut regretter d’avoir agi ainsi, se mettre à jeûner, à prier, à demander pardon à D.ieu et promettre de ne plus recommencer. 

Réouven devient un repentant, un Ba’al Téchouva. Il a expié sa faute, mais il ne l’aura réparée que lorsqu’il restituera la somme volée à Yossèf. 


Il en est ainsi de tout manquement à la Tora, même si nous n’en voyons pas les conséquences, quelque chose a été brisé dans l’équilibre du monde qui nécessite une réparation de la même nature que la faute. 


La Kappara

La Kapara est la démarche qui annule la punition. Toute action bonne entraîne une récompense, toute faute entraîne un châtiment. Ce principe est absolu, même si la récompense ou la punition n’est pas donnée dans ce monde, mais seulement dans la vie future. 

Si tout péché entraîne un châtiment, on peut cependant faire que le châtiment ne s’exerce pas. C’est le rôle de la Téchouva, du repentir, de la conversion à D. et du jour de Kippour. La sainteté de Kippour est capable de neutraliser le châtiment conséquent à un péché. 

Semblable à un contrepoison, la Téchouva est le paratonnerre qui canalise la foudre et épargne de la mort. 

Si le châtiment peut être détourné par la sainteté de Kippour, en l’empêchant d’agir contre nous, l’impureté née de la faute, elle, gît en nous-mêmes. Seul un examen de conscience et une conversion sincère peuvent nous purifier. C’est, sur le plan spirituel, le rôle de la Téchouva.



La Téchouva



La possibilité de changer radicalement sa vie est un bienfait extraordinaire que D.ieu a accordé à l'homme.

De l’obscurité, l’homme peut accéder à la lumière, il peut transformer la tristesse en joie et s’engager dans la vie véritable, celle qui lui fait apprécier chaque instant que D. nous accorde sur cette Terre et nous donne une raison de vivre. 

En effet, tout homme est faillible, c’est-à-dire tout homme, même le plus saint, fait du mal, un jour ou l’autre de sa vie, par la pensée, par la parole ou par les actes.

« Il n’existe point de juste parfait sur la terre qui ne fasse que du bien, sans jamais pécher ». (Ecclésiaste 7/20)


Aussi l'Eternel a-t-il créé le remède: la Téchouva, ou repentir, est la possibilité pour l’homme de réparer sa faute. 

La Téchouva comporte plusieurs étapes. La Téchouva véritable est la transformation totale de la personne: 

«D. ne désire pas la mort du pécheur, mais qu’il revienne de sa voie mauvaise et qu’il vive. » (Ezechiel, 33/11) 

Tel est le grand principe de Yom Kippour. D. accepte avec joie la repentance de l’homme, lorsqu’il abandonne, avec sincérité, le mal qu’il a fait :

1. En cessant de commettre des péchés

2. En regrettant d'avoir mal agi 

3. En promettant de ne plus recommencer en s'engageant dans la voie du bien.



Le programme de la journée de Kippour suivra donc ces trois étapes: 

Téchouva: la repentance se pratique par le Tsom , le jeûne de Kippour: loin des préoccupations matérielles, l'homme peut se consacrer entièrement à la méditation. 


Téfila: la prière dans laquelle on ouvre son coeur à D.ieu et et l’on énumère nos péchés. 


Tsédaka: c’est-à-dire les bonnes actions que l’on fait avec ses biens comme l’aide aux pauvres, l’aide aux institutions spécialisées dans l’étude de la Tora (écoles juives, Yéchivote, Kollel). 
Ainsi l'aide que l'on apporte à notre de facon générale. 


Le Rambam ditqu’une Téchouva est véritable si l’homme, se trouvant dans les mêmes conditions qu’au moment de la faute, s’abstient de retomber dans le même péché. 

A Kippour, nous essayons de créer les meilleures conditions pour la Téchouva par les abstinences (jeûne, interdiction de se laver, de mettre des chaussures de cuir). C’est-à-dire en nous détachant de notre confort habituel, pour nous consacrer uniquement à notre amélioration spirituelle. Ce jour est propice pour une véritable Téchouva. Elle sera le catalyseur de toute l'année à venir pour de meilleures résolutions qui seront prises en cet instant très particulier. En effet la prise de conscience à un moment si favorable pour une meilleure Téchouva ne peut se réaliser qu'en ce jour solennel de Yom Kippour.



L'essence de Yom Kippour



Jour du pardon ou du grand pardon. C’est ainsi qu’il est ressenti par la plupart des juifs venus au rendez-vous annuel pour confesser leurs péchés et promettre de beaux lendemains dans la piété et la fidélité. 

Le Yom Kippour a été accordé à Israël pour effacer leurs fautes et leurs délits: « Ki bayom hazé yékhapère ‘alékhèm » (Lévitique, 16/30). 

Il est évident que seules les fautesrituelles sont pardonn�es par la seule vertu de la prière et du jeûne de Kippour, mais la sainte journée ne peut en aucun cas procurer le pardon pour les fautes commises envers le prochain. 

Ces dernières nécessitent auparavant que l’on se réconcilie avec son prochain, en réparant les torts qui lui ont été causés. 



 

 

La 'Avoda  

 

Pendant la prière de Moussaf nous évoquons le service du Grand Prêtre dans le Bèt Hamikdach le jour de Kippour. Le « Kohen Gadol »était le personnage principal de la journée de Kippour, car le pardon des fautes de tous les enfants d’Israël dépendait de la manière dont il accomplissait son service dans le temple.

Aujourd'hui nous n’avons plus de temple ni de Grand Prêtre, ni d’autel, ni de sacrifices. Nous rappelons ce service sacré du Kohen Gadol, dans la prière de Moussaf en nous agenouillant face contre terre comme on le faisait du temps du Bèt Hamikdach. 


Le Vidouye : la confession  


La confession des fautes, ou Vidouye, est une des conditions essentielles de la T�chouva. La Tora nous oblige à exprimer nos fautes pour nous les rendre davantage présentes à notre esprit et à notre coeur. 

Le Vidouye, comme la Téchouva elle-même, sont personnels. Il nous est interdit de nous confesser à une personne, ou de nous confesser à haute voix en public, à moins que la faute soit publique et connue de tous, car la confession est une affaire privée entre D. et nous.

 



C'est pour cette raisonque ‘Hazal , nos Sages, ont rédigé un texte de confession comportant 22 points. Cela selon l’ordre des 22 lettres de l’alphabet qui représentent symboliquement toute la Tora, et par conséquent tous nos manquements à cette Tora. 



Fauter avec intention  


A celui qui dit: «Je pécherai, puis je me repentirai, je pécherai encore, et de nouveau, je me repentirai », on ne lui donne pas la possibilité de se repentir. A celui qui dit: « Je pécherai et le jour de Kippour me lavera de mes péchés », le jour de Kippour ne lui apportera aucun pardon (Yoma, 85 b).(Yoma, 85 b). 

Nous remercions le Grand Rabbin Jacques Ouaknine Chalita, qui nous a autorisé à utiliser pour ce dossier, des passages de son livre
" De Génération en Génération être juif ".

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 16:34

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 12:24

 

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Rosh Hashanah Greetings from 
Rabbi Marvin Hier, SWC Founder & Dean

September 7, 2010

Chère Aschkel,

Traduction Fabien MIKOL

Pour © 2010 aschkel.info et © 2010 lessakele



Rosh Hashana est un temps pour l'introspection. Dans le monde physique, l'eau qui coule le long du ruisseau le matin n'a aucune relation avec l'eau qui suivra ou avec l'eau qui précéda. Mais dans le monde spirituel, le passé, le présent et le futur ne sont jamais séparés. Nous savons tous que ce qui s'est passé au cours de la Shoah aura sur nous un impact pour des milliers d'années. Ce que nous faisons à propos de la menace nucléaire iranienne, et la résurgence continuelle de l'antisémitisme en Europe affectera les générations futures. Et en ces temps de défi, quand il y a 57 Etats arabes et musulmans, et seulement un petit Etat juif dont la légitimité est attaquée chaque année, aurons-nous le courage de tenir bon pour lui ?

Ainsi que Chaïm Weizman a répondu à la Commission Peel, quand on lui demanda pourquoi les Juifs n'acceptaient pas simplement un territoire en Afrique qui serait tellement moins difficile à arranger pour les Britanniques - sa réponse avait été : "Monsieur, ce serait comme vous demander pourquoi vous avez parcouru 50 kilomètres pour voir votre mère la semaine dernière, alors qu'il y a tant de vieilles dames aimables dans votre rue". L'avenir de la vie juive à travers le monde dépend de la force et du dynamisme d'Israël.

Ces temps sont critiques, soyez proactifs - ne laissez pas le monde vous ignorer. Dressez-vous contre l'intolérance et l'antisémitisme. Devenez un membre actif du Centre Simon Wiesenthal àwww.wiesenthal.com, parmi les 400.000 à travers le monde. Alors que nous ne pouvons effacer le passé, nous pouvons créer un meilleur futur pour nos enfants et petits-enfants.

Shana Tovah à vous, et à votre famille et votre équipe,

Rabbi Marvin Hier
fondateur et doyen


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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 08:47

 

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Chers Amis,

 

Je souhaite vous remercier pour la confiance que vous m’avez témoignée en vous joignant au Likoud afin de m’aider à me faire élire aux prochaines élections législatives.

  

Le Likoud a de nouveau repoussé la date buttoir de soumission des nouveaux adhérents, cette fois-ci au 29 septembre.  Je compte soumettre ma liste d’adhérents avant Souccot. 

  

Je souhaite remercier Michel Ben-Ami, le Président de la branche du Likoud à Jérusalem, qui m’a approché début juin pour participer à l’effort de rassemblement politique des Francophones.  Je souhaite également remercier les personnes qui m’ont aidé rassembler de nouveaux adhérents dans la région d’Ashdod, en particulier Aschkel Lévy et Michaëla Ben-Haïm.  Je souhaite également remercier les médias qui m’ont aidé à me faire connaître durant cette « campagne » : Le Ptit Hebdo, le Jerusalem Post en Français, Hamodiah en Français, et Israël Magazine, Terre d’Israel.com, Aschkel Info, Lessakele, et Meteor.

  

Les choses ne s’arrêtent pas avec la soumission de la liste des nouveaux adhérents dans deux semaines.  Après les fêtes, vous recevrez une invitation pour une réunion régulière, à Ashdod, des adhérents francophones du Likoud.  Le but sera de formuler des idées et des solutions aux problèmes du pays et de les promouvoir tant par les médias que par le lobbying politique.  À ce sujet, je développe une relation de travail avec l’organisation Im Tirzu, pour aider à promouvoir, à la Knesset, au Gouvernement, et dans les médias, les idées et programmes que nous formulerons au sein de notre nouveau groupe d’adhérents.

  

Encore une fois, merci pour votre soutien et pour votre confiance, et shana tova à vous et à votre famille.

  

Emmanuel Navon.     

  

Dr. Emmanuel Navon

www.navon.com 

emmanuel@navon.com

 

 

 

Pour ma part je te remercie Ma chère amie Michaela pour avoir organisé a Ashdod la récéption du Dr Emmanuel Navon, et remercie également Sara Brownstein d'avoir si bien relaté la belle ambiance qui y régnait.

Aschkel

 

 

Impossible n’est plus       français…                                                                                                

 Par Sara Brownstein

 

Les gens se pressent, nombreux et attentifs. L’avenir de leur pays les tient à cœur. Dans la moiteur d’Ashdod, les éventails sont sortis. Ce sera le seul bruit audible durant l’intervention d’Emmanuel Navon. Cet universitaire venu de France il y a plus de quinze ans, venu à  leur rencontre aujourd’hui, leur dresse un portrait clair et concis du système politique israélien.  Il s’exprime calmement mais son enthousiasme transparait dans ses propos. Les exemples abondent. Il faut apporter des changements au pays. Tous en sont convaincus. Mais que faire ? Ce sera le plus grand défi de ce candidat à la Knesset : changer la mentalité de ces francophones qu’il n’hésite pas à qualifier d’apathiques face aux problèmes de notre société. Peu représentés, en dépit de leur nombre sans cesse croissant, ils ont du mal à être considérés comme un groupe incontournable dans les décisions du pays. Un certain individualisme et  un manque d’homogénéité sont souvent cités pour expliquer leur quasi-inexistence dans le paysage politique israélien. Il est difficile de les regrouper et ceux qui ont tenté dans le passé d’être leur porte-parole ont presque tous échoués. Un membre dans l’audience explique : « En France, nous étions en tant que Juifs, peu impliqués dans la vie politique. Un camp ou l’autre, cela importait peu. Nous ne votions qu’en fonction de leurs propos envers Israël et tout le monde était à nos yeux plus ou moins dans le même sac. C’est difficile à présent de changer de casquette et de se dire que nous pouvons nous impliquer. En fait, c’est grisant et nouveau mais cela intimide aussi. »

Emmanuel Navon l’a compris. Il leur parle de grandes idées certes, mais bien concrètes. Il les incite à jouer un rôle actif, non pas en tant que collectivité mais en tant que simple individu. Comment ? En utilisant tout simplement le garant de toute démocratie : le droit de vote. Les mots d’encouragement se succèdent fréquemment : « bougez-vous, faites, agissez. Rien n’est inéluctable. Impliquez-vous dans un parti, n’importe lequel mais surtout ne restez pas passifs. »

Le public réagit, contaminé par son énergie. Leur préoccupation initiale, voir davantage de traduction française dans les formulaires et documents  officiels, a vite cédé la place à un désir plus grand, une volonté de changer les choses, de peser, de compter, en bref, de pouvoir mériter son titre de citoyen de l’état d’Israël.

Souvent qualifiés d’électorat de « droite », ces francophones ne semblent pas avoir jusqu'à ce jour trouvé un représentant adéquat pour faire valoir leur droit. Les promesses abondent au fil des années, mais les réalisations se comptent elles, sur les doigts de la main. Plusieurs font mention de leur réserve et scepticisme mais peu à peu, se retrouvent séduits par ce mélange d’homme d’affaires et universitaire qui leur fait face. Ses idées correspondent aux leurs et ses propos touchent leur cœur. Et pourtant, ce ne sont pas uniquement en tant que francophones qu’Emmanuel Navon les sollicitent. Ses projets sont plus ambitieux, ses aspirations plus profondes : ce qu’il désire ultimement est de faire d’Israël un meilleur pays, une démocratie forte de l’intérieur autant qu’à l’extérieur. Il dénonce les vrais pouvoirs, ceux qui tirent les ficelles, influencent les décisions de nos dirigeants et pèsent de tout leur poids sur la politique du pays : La Cour Suprême, les Universités, les medias.

Les décisions sont prises par le gouvernement, aux yeux de cet électorat potentiel, en dépit du bon sens : le gel des territoires, l’attitude face aux Etats-Unis, le mur de séparation. Ils veulent comprendre les événements mais davantage encore les rouages du pays, l’apparent et le caché. Tout y passe, tous les sujets sont abordés, même le problème des conversions. Le « politiquement-correct », Emmanuel Navon ne connait pas. Sa sincérité séduit. On lui demande : « pourquoi passer par le Likoud ? ». Sa réponse est franche, sans détours : « il existe une multitude de petits partis. Ce phénomène entrave la formation de tout gouvernement. Nous nous laissons distraire en votant pour eux et affaiblissons notre efficacité. Il faut tout miser sur les plus grands, Kadima, Likoud, Shas et une fois à l’intérieur d’un de ces groupes politiques, proposer réformes et lois à la Knesset pour tenter de faire bouger les choses. »

On ne peut lui donner tort. Les habitants d’Israël n’ont jamais été plus passifs, déçus et sans illusions sur leurs dirigeants politiques. Ce à quoi rétorque Emmanuel Navon : « Il s’agit de notre pays, Nous avons entre nos mains le pouvoir de le changer ou du moins la responsabilité d’essayer. »

Un mouvement d’étudiants et d’universitaires a récemment vu le jour. Son succès ressemble à une vague déferlante. Son nom : Im Tirtzu, ses membres : les citoyens d’Israël, toutes origines et tendances confondues. Im Tirtzu souhaite par son ampleur, influer sur les décisions du pays. Ses membres ont déjà commencé et le mouvement enregistre à ce jour plusieurs victoires: certaines réformes proposées ont été votées à la Knesset. Emmanuel Navon annonce une série de conférences d’Im Tirtzu dans tout Israël. Chacun souhaite en savoir plus. Les questions fusent jusque tard dans la nuit. Contre toute attente, ces francophones « passifs » ne veulent savoir qu’une chose : « que faut-il faire ? Comment agir ? ». La réponse est simple : ils sont invités à s’inscrire au Likoud. Si leurs inscriptions sont validées avant le 12 Septembre, ils pourront participer aux prochaines élections en 2012 pour élire le candidat du parti. La première étape sera alors franchie.

« Et ensuite ? Que se passera t –il ?» interpelle une jeune femme du fond de la salle. Puis sans attendre la réponse,  elle se lève pour s’en aller remplir le formulaire d’inscription du Likoud. Elle déclare à ceux qui l’entourent : « Si rien ne marche dans ce pays, il ne faudra pas rejeter la faute sur quelqu’un d’autre. S’il existe une possibilité de pouvoir changer les choses, alors il faut s’investir. »

Les francophones commenceraient-ils à se mobiliser ? Après les lobbies russes et anglophones, faudra t-il désormais compter avec celui des francophones ?  Une bouffée d’air frais commencerait-elle à souffler sur le paysage saturé du monde politique israélien ? L’avenir nous le dira car nous devrions avoir réponse à ces questions dès les prochains mois. 

 

 

Shana Tova à tous 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 08:20

 

sélection de conférences

 

 

Akadem, le campus némrique

 

Que disait Manitou ?

Roch hachana

 

ROCH HACHANA
Les rites dans le judaïsme
Roch hachana et le chofar
par Claude Riveline
Autour des fêtes de tichri
Le moussaf de Roch hachana 
par Claude Brahami
Le Chabat avant Roch hachana
Nitsavim: "Choisir la vie" 
par Benjamin Gross
Nitsavim-Vayele'h
La paracha de la techouva
par Yossef Attoun
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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 06:21

Transmis par Danillette, 

 

 

Pasteur Jean et Suzanne FAUVEL

 

 

‘’ Béni soit l’homme qui se confie dans l’Eternel et dont l’Eternel est l’espérance ’’ (Jérémie 17 v 7)

 

‘’ CHANA TOVA 5771 ! ‘’

 

 

Bien chers amis,

 

Comme chaque année, nous ne voulons pas manquer de vous bénir de tout cœur vous et les vôtres en ce début d’année 5771.

Malheureusement, ils étaient encore nombreux à vous maudire, et à contester Israël l’année écoulée. Vous n’avez pas été épargné par les vagues de haine, d’insécurité et agressions dans les villes où plusieurs ont voulu vous toucher et vous nuire.

Sachez que tout cela nous affecte énormément.  Nous nous en sommes ouverts auprès de nos autorités, et les avons rendu sensibles à votre endroit et Israël, au mieux que nous l’avons pu et  avons encouragé nos amis à en faire de même.

Le monde Chrétien est malheureusement très partagé, et s’est laissé entraîner dans une grande confusion à cause de la perversité des interprétations sur ses textes fondateurs ! IL ne sait plus vers qui se tourner! ; et vers quel bord rester dans l’équité !

De notre côté, depuis longtemps, avec les vrais amis du peuple Juif et d’Israël, nous avons décidé de ne pas nous laisser ébranler comme beaucoup. C’est pourquoi, Aujourd’hui, nous souhaitons tout spécialement et de tout cœur vous bénir, comme beaucoup de nos frères, avec les paroles de votre grand Psalmiste, le roi David, qui nous touchent nous aussi, avec réalité et profondeur, et nous est adressé comme lecture en ces jours ! :

‘’ Mon âme, bénis L’Eternel ! Que tout ce qui est en moi bénisse son Saint Nom ! Mon âme, bénis l’Eternel et n’oublie aucun de ses bienfaits ! C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies ; --.. ;.Comme un père a compassion de ses enfants, l’Eternel a compassion de ceux qui le craignent ‘’ (Psaume 103 : 1-13 )

 

Lui seul aura le dernier mot !

                                                     

 Avec nos plus sincères souhaits !

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 11:16

 

 

 

 

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 18:13

ISRAËL FÊTES - LES ISRAÉLIENS VONT ENGLOUTIR PAS MOINS DE 1.500 TONNES DE MIEL EN QUELQUES JOURS- LES 500 APICULTEURS ISRAÉLIENS SE FROTTENT LES MAINS DEVANT LA POPULARITÉ CROISSANTE DE MIELS DE PLUS EN PLUS SOPHISTIQUÉS.

SEP 201005

Par IsraelValley Desk Actualité
Rubrique: Fêtes
Publié le 5 septembre 2010

 

 

 

A l’approche des fêtes du Nouvel An juif les quelques 500 apiculteurs israéliens se frottent les mains devant la popularité croissante de miels de plus en plus sophistiqués. La CROIX: “Au traditionnel dîner du Nouvel An (”Rosh Hashana") et durant le mois suivant, les Israéliens engloutissent pas moins de 1.500 tonnes de miel, soit 40% de leur consommation annuelle, selon des statistiques officielles.

Pour que l’année à venir soit douce, on imbibe de miel des tranches de pommes, on en enduit les poulets rôtis et on le retrouve sous forme de gâteaux. Ces dernières années, le goût des Israéliens pour le miel (la région est célébrée dans la Bible comme “une terre qui ruisselle de lait et de miel”) s’est affiné et ils l’apprécient de plus en plus pour sa saveur, exactement comme un bon vin.

“Cette tendance s’affirme de plus en plus. Les gens s’adressent directement aux producteurs”, affirme Shaï Spector, un apiculteur dont l’établissement se trouve à Kfar Ruth, un village du centre d’Israël.

On trouve désormais dans les grandes chaînes de supermarchés un miel de jujube, au goût très fruité et produit près de la frontière avec le Liban, des miels de sauge et de thym collectés dans les collines qui entourent Jérusalem, et même des variétés plus originales réalisées à partir de citron, d’eucalyptus, de chardon, des clous de girofle ou même d’oignons.

Pour les connaisseurs, M. Spector propose onze variétés de nectar qu’il produit en disposant ses ruches un peu partout à travers le pays, dans des vergers, des champs de fleurs ou à proximité de buissons. Depuis cinq ans, il a vu ses ventes doubler chaque année".—

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 11:10

 

Merci à universtorah.

 

 


Les 100 sonneries à l'office de Roch Hachana, le son vibrant d'émotion qui clôt le jeune de Yom Kippour nous invite à nous intéresser au chofar: comment le fabrique-ton? 

Comment savoir s'il est Kacher ou s'il s'agit d'une imitation? Dans une des ruelles de Jérusalem, Hamodia a rencontré Chemouel, il vend des chofarot, il connaÎt bien le domaine et nous dévoile les secrets de fabrication de cet instrument millénaire. 

Les passants abondent dans les rues de Guéoula, à Jérusalem, ils font entendre les klaxons de leurs voitures, les alarmes, les sonneries incessantes de leur téléphone cellulaire. 

Au milieu de ces bruits de la vie moderne, le sort envoûtant du chofar se fait entendre à travers le quartier. Dans la boutique de Chemouel, un assortiment de cornes aux tailles et formes les plus variées est proposé aux clients. Il travaille dans les chofarot avec son père depuis son plus jeune âge et connaît bien le processus de fabrication. 

A ma question sur les différentes étapes de production, il explique: "On peut compter 5 étapes distinctes dans la fabrication d'un chofar".



1. Le pré chauffage





2. Le secret de la moelle



Les cornes arrivent ensuite à l'usine sous forme brute. La matière extérieure ressemble à celle des ongles humains, à l'intérieur, la corne est remplie d'une moelle épaisse qu'il est très difficile de retirer. 

Là, c'est l'étape la plus délicate du processus: il faut retirer cette moelle sans provoquer la moindre fissure. La technique particulière requiert qu'un ongle soit inséré dans la moelle afin de pouvoir l'extraire. Cette phase de la production relève du secret professionnel et n'est révélée à personne. Après que toute la moelle a été entièrement retirée du chofar, il ya deux possibilités: soit on polit l'extérieur du chofar et on le perce ensuite, soit on suit l'ordre inverse. Les deux manières sont conformes à la Halakha.



3. Le perforage



On va percer deux trous, un à chaque extrémité du chofar. Comme la corne est en fait un os, elle est extrêmement fragile, au moindre faux mouvement, le chofar devient non-Kacher! 

Là encore, il y a une astuce: le trou sur l'extrémité étroite du chofar doit être percé à l'endroit exact par lequel la moelle a été extraite. L'extrémité large correspond à l'endroit où la corne était accrochée au crâne de l'animal. Ici à nouveau, le perforage est délicat car la taille du trou affecte le type de son que le chofar va émettre: plus le trou est petit, plus le son sera fin. En fonction de la taille de ce second trou, le Chofar sera classé dans la catégorie de ceux dans lesquels on souffle avec facilité ou avec difficulté.



4. Le polissage qui influe sur le son



La qualité du son émis par le chofar dépend de sa surface. Plus celle-ci est lisse et dure, plus le son qui en sort sera puissant. 

C'est la raison pour laquelle on polit le chofar pendant un bon moment, en éliminant ses parties rugueuses. 

On racle d'abord la couche extérieure pour l'éliminer complètement, puis on polit le chofar jusqu'à ce qu'il prenne un aspect lisse et brillant.



5. Modelage et décoration




La dernière phase consiste à donner une forme à l'extrémité large du chofar. Le trou est modelé à partir de la corne elle-même; aucune substance complémentaire ne peut être ajoutée au chofar pour l'embellir. Dans le passé, les artisans avaient l'habitude de graver leur nom, de dessiner des couronnes sophistiquées ou des images de Jérusalem ou encore d'incruster des expressions comme « Tikou ba'hodech chofar » - vous sonnerez du chofar en ce mois - suivant l'injonction des sages, basée sur le verset « Zé Kéli Veanvéhou » relative à l'embellissement des Mitsvote. 

Tout ceci n'est permis qu'à la seule condition que le chofar reste intact, sans la moindre fissure.



6. Distinguer le vrai du faux



En raison des complexités de la fabrication, les rabbanim conseillent d'acquérir un chofar doté d'un certificat rabbinique car on trouve malheureusement de nombreux chofarot non Kacher sur le marché et il n'est pas évident pour le public de pouvoir déceler les authentiques des contrefaçons. 

J'ai demandé à Chemouel comment il expliquait que des chofarot non Kacher puissent arriver sur le marché: "Le travail de fabrication consiste essentiellement à manipuler la corne d'un animal, c'est une tâche difficile, salissante et accompagnée d'une odeur forte et désagréable. Il n'y a donc pas beaucoup de personnel, la plupart des ouvriers ne sont pas religieux". Il y a quelques années, des chofarot fabriqués à partir de plastique avaient fait leur apparition sur le marché. Ils imitaient parfaitement la couleur, le poids, les producteurs malhonnêtes avaient même poussé le vice à placer de la moelle à l'intérieur pour qu'ils aient même l'odeur exacte des chofarot authentiques! Il y avait juste un détail qu'ils avaient oublié: il n'exiéte pas deux chofarot identiques, chacun est unique ! 

Plus sérieusement, le problème majeur est la possibilité de fissure de la corne qui rend le chofar non-cacher. Dans le passé, quand tout était fabriqué à la main, les artisans travaillaient avec réflexion et patience et ce genre de problème ne survenait que rarement. 

Aujourd'hui, la fabrication est presque entièrement automatisée, les fissures sont beaucoup plus fréquentes et certains producteurs malhonnêtes utilisent de la colle translucide pour les réparer. La colle à bois ou la colle forte est un remède courant mais qui rend mal¬heureusement le chofar non-conforme à la Halakha. 

On peut donc être amené à acheter un très beau chofar qui a l'air Kacher mais qui en réalité ne l'est pas. 

Après l'avoir examinéattentivement, un spécialiste des chofarot peut en général repérer la présence de colle, mais pour un amateur, c'est absolument indécelable ! « J'ai moi-même des difficultés à établir avec certitude qu'un chofar ne contient pas de colle. 

Occasionnellement, j'arrive à repérer une teinte légèrement différente de sa couleur naturelle témoignant de la présence de colle, mais c'est très subtil. Pour cette raison, il vaut mieux se procurer un chofar avec un certificat rabbinique, c'est plus sûr »! 

Propos recueillis par Yéhochoua Maman pour Hamodia
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