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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 06:15

 

Merci Dominique

 

Allez pour se mettre en forme dés le matin !

 

IMAGES DE TEL-AVIV, LE MARATHON 2011

 


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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 17:57

 

 

"Un vocabulaire de la morphologie des plantes" francais-hébreu suivi de l'hébreu-francais a l'occasion de Tou Bichvat - la fête des plantes.
Par Colette Allouch

 

 

 

dicolette.jpg

Sun-rose

Bonjour à tous et toutes
 
Ci joint "un vocabulaire de la morphologie des plantes" francais-hébreu suivi de l'hébreu-francais
a l'occasion de Tou Bichvat - la fete des plantes.Colette Allouch
 
C'est un thème trés pointu qui n'interessera que peu d'entre vous, mais il m'a été demandé par ma
petite nièce ola hadacha qui fait des études de biologie mais je vous en fait profiter.
 

Colette Allouch

Dictionnaires français-hébreu-français
Je désire à la fois partager ma passion des mots
et promouvoir l’usage de termes nouveaux en français et en hébreu
Voici le Dictionnaire 
Retrouvez ici comment contacter l'auteur
et découvrir ou redécouvrir l'outil indispensable
Que je vous recommande
vraiment
ICI

Sun-rose

 

 


 

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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 07:19

 

 

 

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Samedi 15 janvier 2011



 

Charles Bensmaine, gérant d’Auguri Productions, et David Stern, président de Stern & Lights, ont le regret d’annoncer l’annulation du concert de Mlle Vanessa Paradis à Tel Aviv, initialement programmé pour le 10 février 2011, du fait d’impératifs professionnels de l’artiste.


Auguri, producteur de la tournée internationale de Mlle Vanessa Paradis, tient à transmettre les excuses de cette dernière à ses nombreux fans en Israël.


Stern & Lights, producteur local du concert, déplore cette décision totalement indépendante de sa volonté.


Le remboursement des billets achetés débutera à compter du mercredi 19 janvier, 9 heures, dans l’ensemble des points de vente ouverts pour le spectacle. 


Auguri Productions et Stern & Lights travaillent d’ores et déjà à la venue en Israël, à court terme, de plusieurs artistes de la scène française.     

 

                          Charles BENSMAINE                                                     David STERN     

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 20:33

 

 

 

 

16x6

vanessaopera.com

 

 

Variations de : Marc Brzustowski

Pour © 2010 lessakele  et  © 2010 aschkel.infowww.feminin.co.il 


Vanessa Paradis, étoile éblouissante en plein cœur de l’opéra de Tel Aviv

 

Sa tournée estivale 2010 avait débuté à lOpéra Royal du Château de Versailles , accompagnée par un quatuor à cordes, portant la sensualité de l’artiste resplendissante à la quintessence majestueuse de son œuvre.


L’art ne tient qu’à l’étincelle de la prise de risque sur un fil invisible pour unique boussole : Vanessa Paradis a choisi de suivre la source de son inlassable quête d’absolu en mettant le cap surl’opera de Tel Aviv, ce 10 février prochain, pour le lancement de sa tournée internationale 2011. Après un passage, fin janvier, aux Folies Bergères, de là, elle transportera son public de Londres à Istanbul, en passant par New-York, Los Angeles, le Canada et le Japon.


De concert avec notre partenaire  http://vanessaopera.com, nous* voulons accueillir les premiers pas de Miss Paradis, qui la guideront vers ce grand soir d’apothéose dans l’arène moderne et mythique de la Colline du Printemps (Tel Aviv en hébreu).  


Cet Orient si proche l’attend, et retient son souffle depuis son tout premier succès : Israël fut, en effet, un des premiers pays au monde à reconnaître l’immense talent que dissimulait encore la timidité juvénile de cette Lolita (elle n’avait pas 15 ans), lors de la sortie, en avril 1987, du titre de son dévoilement : Joe le Taxi. Cette charmante diligence parcourut alors et embrassa les 5 continents, à travers le monde francophone, d’abord (en Belgique, Canada, Suisse et Israël), avant d’être Top 3 en Angleterre. Ce qui n’était pas arrivé à un disque français depuis -excusons du peu l’âme bien née - « Je t’aime, moi non plus ! » de Gainsbourg et Birkin, en 1969. Le titre est repris en chœur aux Etats-Unis en 1989 et les fans la précèdent en dansant.


C’est donc, -6,9 millions de disques et 11 millions de spectateurs plus loin-, à l’heure de la maturité artistique comme un fruit rouge coco défendu, qu’à nouveau, tout commence et que le rideau se lève, sur cette prestigieuse salle de l’opéra de Tel Aviv, Terre de la Grande Promesse.

 


 Ici, le 28 juillet dernier, un vibrant hommage était rendu à Serge Gainsbourg, 20 ans après sa mort. Il paraît naturel que Vanessa Paradis découvre, lors de son concert initial de 2011 à l’étranger, et pour la toute première fois, le Sable et la Terre d'Israël, portée sur les ailes ( Elles fragiles) d’un aigle. Car, pour que, de la femme-enfant éclose l’artiste, il fallut aussi l’attention complice et le regard connaisseur de ce géant, un brin moqueur et bienveillant envers la môme Paradis. Même pas rasé, toujours prompt à l’étonnement, il fut de ses premiers paparazzis, à l’orée des Victoires de la Musique 1990, que Vanessa remporte en tant que meilleure interprète féminine, cette année-là (puis en 1991, pour le vidéo-clip deTandem, en 2008, avec Divinidylle... )

 

Gainsbourg lui écrira, en Tandem extatique, son second album :Variations sur le même t’Aime, sorti en mai 1990, ultime test-amant. Le grand parolier, pianiste impénitent fredonnant la chansonnette pour des dizaines de célébrités, toutes générations confondues, tirera sa révérence 9 mois plus tard. Perpétuel renouvèlement de mort et de renaissance, ou provocateur clin d’œil : « Et Si D.ieu était Juif, ça t’inquiéterais, petite ? ».


 

1990 - Quand Vanessa Paradis était abonnée aux récompenses

En juin 1988, Vanessa s’est déjà produite avec M&J, Marylin and John, assorti de plusieurs grands titres qui composent la voilure en prise aux meilleurs vents de cette jeune chanteuse incomparable :Maxou, Coupe-Coupe, Mosquito 


De Be my Babe à Divine Idylle  (2008) aux reprises originales de Jacques Dutronc, de Lou Reed (Take a walk on the Wild Side) aux Rita Mitsouko, c’est Le Tourbillon qu’elle reprend en duo -quelle émotion !- avec Jeanne Moreau (au Festival de Cannes 1995). Les hits et l’intensité des moments seraient trop denses pour les assembler, ici, en seul bouquet.


 

 

Comme Gainsbourg que l’on peut, à titres si justes, considérer parmi ses mentors, la carrière du papillon de nuit Vanessa Paradis est multiple, insaisissable, harmonieuse comme une sonate. Peut-être a-t-elle déjà vécu plusieurs vies. Née d’Une Etoile et d’un Lion, elle brillera au firmament de l’univers cinématographique (depuis Elisaavec Gérard Depardieu,  le César, doublé du Prix Romy Schneider pour Roses Blanches, à l’actuel succès de « L’Arnacoeur», en duo avec Romain Duris)… Tout comme elle deviendra l’égérie de la mode, chez Coco Chanel, Karl Lagerfeld, ou de la publicité en mal de visages aussi lumineux qu’insondables, comme autant de styles de vie inclassables, lorsqu’ils alimentent les potins des Bobos.


Surtout, depuis le Grand Serge d’Odessa, son parcours a croisé nombre d’êtres d’exception, tout à la fois, complexes et décalés : depuis Lenny Kravitz, ou les Forbans, à l’incorrigible Pirate et dandy des Caraïbes resté légendaire, Johnny Depp, en passant par l’hommage qu’elle prépare à Alain Bashung, décédé il y a deux ans.


Idem à la texture fractale du diamant qui suscite tant de fascination, nous reviendrons au rythme balancé de plusieurs chroniques  (en 5 actes), sur le parcours de la comète Paradis, jusqu’en ce soir du 10 février 2011, où le diadème de sa voix cristalline palpitera, lors du couronnement annoncé sur le Boulevard du Roi Saül.

 

*[ lessakele  aschkel.info , Magazine Météor Israël et tant d’autres partenaires] 

 

 

 

 

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 07:50

 

 

 La photo de l'année 

Sharky le requin sioniste -

Photo du jour - Un requin sioniste applique la charia en attaquant les touristes kouffars en Egypte

et les vidéos

"Hanoukka américain


 

Noël - à l'heure du Web


noel.png

L'équipe d'Aschkel.info/lessakele

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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 09:49

 


Un cadeau de 'Hanouccah utile et agréable

 

Le dictionnaire de Colette Allouch

Voir ici >Indispensable - Le grand dictionnaire bilingue et bidirectionnel français-hébreu-français

 

Colette nous adresse ses meilleurs voeux avec cette photo étonnante !

 

Colette Allouch 

Dictionnaires français-hébreu-français
Je désire à la fois partager ma passion des mots
et promouvoir l’usage de termes nouveaux en français et en hébreu
 

BONNE FETE DE HANOUKAH 

חג אורים שמח 


 

   חנוכה שמח   

  

tour-eiffel-hanouccah.jpg

 

 



 

 

 

  

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 22:08

 

Billet d'humeur

 


mur-briques-rougemur-briques-rouge.jpgmur-briques-rougemur-briques-rougemur-briques-rouge.jpg

 

 

Eloge du mur

Par Catherine STORA

Pour aschkel.info  et lessakele .

 

Merci à Catherine ....

A diffuser bien-sur avec le nom de l'auteur et la mention de la source


Ah, qui dira les bienfaits dispensés par cet incomparable chef-d'oeuvre de l'industrie humaine? Toutes les maisons commencent par lui, tous les édifices, qu'ils soient bureau de poste, église ou temple, cour de récréation ou couvent, tous naissent avec lui...J'ai nommé: le mur!

 

Liberté, liberté chérie, j'écris ton nom. Où ça? Sur le mur!

Et j'colle des affiches, pour la manif de jeudi contre les mesures homophobes en Ouganda. Où ça, sur le mur, banane!

Le mur, le mur, toujours le mur!

 

Sans mur, c'est sûr, plus de liberté ! Comment, en effet, faire le mur, s'il n'y en a pas? Où verrait-on le courageux l'entreprenant maçon s'il n'y avait plus de mur, ni de pied du mur?

Qu'il soit d'escalade ou de séparation, lui seul permet la grimpette, et les retrouvailles, car sans séparation, pas de réunion! Vous voulez vous faire la belle? Faites d'abord le mur!

 

Et puis, où se taperait-on la tête, désormais, s'il n'y avait plus de murs? Au plafond?

 

J'aime les murs. Surtout quand ils se mettent en quatre pour m'offrir le gîte et le couvert. Je ne me sens jamais si bien qu'entre quatre murs, à lire, étudier ou faire tranquillement ce que la morale réprouve, à l'abri des regards et des oiseaux qui ne se privent pas de vous chier dessus inopinément quand vous avez l'imbécillité de faire l'amour en plein air, ou à la mer (là c'est les mouettes) ou lorsque vous vous tapez un bon polar à l'ombre d'un chêne ou d'un manguier (tout dépend dans quel hémisphère vous vous trouvez) je préfère le shampoing aux oeufs ou à la camomille qu'à la crotte de pigeon. Personnellement.

 

J'aime les murs, leur ombre fraîche, si reposante après la cruelle morsure du soleil d'été. La gentillesse avec laquelle ils laissent le lierre et la glycine leur grimper dessus, sans rien dire. Et puis leurs oreilles: ils en ont, eux, alors que la plupart des objets sont sourds, prenez les pots, non, pas ceux-là, ils ne sont pas secs. Trop fragiles. Prenez les pots en général, oui, ceux-là on peut y aller, ça craint rien un pot en général, et bien vous savez quoi, les pots sont sourds, c'est bien connu, sinon, pourquoi dirait-on sourd comme un pot? Hein? Même les gens sont sourds, sourds à tout ce qui n'est pas eux, les gens sont sourds à la détresse, la vôtre, la mienne, à l'injustice, pourtant criante! Et même certains à force d'être sourds, sont, en secret, devenus dingues. Sourds-dingues.

Donc les murs ont des oreilles, eux, et c'est tant mieux, j'aime autant parler à un mur plutôt qu'à un fonctionnaire de police.

 

Heureusement qu'il y a les murs et qu'on peut les raser, quoi raser d'autre, sinon? L'auditoire? Dieu m'en garde! (Mais même la lumière est parfois rasante...) Quoi raser, alors, si ce n'est un mur, si on aime raser, et que l'on n'est pas une hirondelle, pour pouvoir raser du bout de l'aile l'eau dormante des marais, hein?

 

Qu'est-ce qui bouge le cul des Andalouses? C'est le mur!

Contre quoi j'me tourne pour dormir tranquille? Contre le mur!

C'est le mur, c'est le mur, mur, mur, mur!

Et puis à quoi serviraient les échelles s'il n'y avait plus de murs? A rien, je vous le dis tout net, sans compter la tête des pompiers, en voyant qu'ils n'ont rien pour appuyer la grande échelle!

 

Sans mur, la vie serait moins drôle, car sans mur, plus de pieds au mur!

 

Ici en Israël, nous sommes beaucoup plus en sécurité à Jérusalem et un peu partout depuis la construction de ce mur: n'en déplaise aux gauchistes et autres amateurs de belles idées simplistes, le nombre de vies humaines ainsi sauvées est difficile à évaluer, mais il est certainement important, vu la chute spectaculaire du nombre des attentats dans mon pays depuis son édification. Vous n'aimez pas? Vous nous reprochez de vouloir nous protéger des Fous de Dieu (mais quel Dieu, en vérité?) et préféreriez qu'il n'ait jamais été édifié?

Allons donc! Confessez alors que vous êtes de ceux qui souhaitent la destruction de l'Etat juif, et Dieu sait s'il sont nombreux, et avouez-vous ouvertement pour l'assassinat des miens, en ce cas.

 

Bien sûr, mur, ça fait tout de suite mur de Berlin, encore que la comparaison ait ses limites...Certains, conscients de ce que le vocable transporte d'idées toutes faites, préfèrent parler de "barrière de sécurité", à mon avis il vaut mieux appeler un chat un chat, un mur un mur, même si la mode est aux périphrases, et que d'aucuns préfèrent dire "technicienne de surface" plutôt que femme de ménage.

 

C'est donc un mur, ne vous en déplaise. Vous n'aimez pas ce mur? Bon. Et alors? Les faits sont là: les attentats, les meurtres de civils innocents ont quasiment disparu depuis que nous avons ce mur pour nous protéger des assassins. Vos théories sur ce mur de séparation ne m'intéressent pas. En pratique, il nous protège, et il n'y a pas de honte à se protéger. Si?

 

Moi, j'aime les murs, tous les murs, Dieu fasse qu'ils se dressent, toujours, pour nous offrir leur ombre fraîche, et un appui pour nos dos fatigués.

 

Je vous laisse là, j'ai rendez-vous. Au Mur, mais oui. Comment l'avez-vous deviné?

Avec une copine. Elle débarque à Jéru, elle connait rien, alors le Kotel, c'est ce qu'il y avait de plus facile pour se retrouver.

 

Allez, sans rancune, shalom et yom tov chez vous.

 

 

                                                                     Catherine Stora


 mur-briques-rougemur-briques-rougemur-briques-rouge.jpgmur-briques-rougemur-briques-rouge

 

 

 


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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 10:14

 

Les articles de Y.SULTAN

Yéochoua 2

 

 

 

Je vous propose de découvrir le livre de Yéochoua SULTAN.

Comme l'amandier en hiver.

 

Pour rentrer en contact direct avec l'auteur en Israël, en savoir davantage, et commander l'ouvrage directement auprès de l'auteur. (prix de l'ouvrage 80 NIS - 387 p)

Contact -

yeochouasultan91@gmail.com  

Yéochoua Sultan, POB 1166, 90628 Bet-El - ISRAEL

 

 


Je vous recommande vivement la lecture de ce magnifique ouvrage.

 Aschkel

 


 

 

couvyeochoua4.jpg


« Et je m'écriai : "Je vois un rameau d'amandier"… D. me félicita: "Admirable perspicacité, car Je me hâterai d'accomplir ma parole…" » (Jérémie I, 11).

 

La floraison précoce de l'amandier annonce, au déclin de l'hiver et à l'approche du nouvel an des arbres, le renouveau du printemps auquel les autres végétaux ne réagissent pas encore. En hébreu, dans la Bible, le terme amandier forme un verbe, dont le sens se rapproche de la promptitude dans l'étude ou l'action.

 

« Et Je vous reprendrai, un par ville, deux par famille. » (Jérémie III, 14)

 

Quand bien même il ne resterait qu'un Juif en exil par ville, ou deux par famille (famille signifiant ici nation) D. viendra les chercher, c'est ainsi que Rabbi David Kim'hi explique le passage de ce verset.

Le Talmud, dans le traité Sanhédrin, comprend qu'une seule personne, par son mérite, peut sauver une ville entière, et deux une famille.

Mais le texte ne perd rien de son sens littéral.

 

« … Je vous ramènerai et vous rassemblerai d'entre les nations et de tous les lieux où Je vous aurai relégués … » (Jérémie XXIX, 14).

 

« … sur cette terre que vous dites déserte… les champs seront achetés, sur la terre de Benjamin et les alentours de Jérusalem, dans les villes de Juda, de la montagne, de la plaine et du Néguev, car Je vous rassemblerai… » (Jérémie XXXII, 43-44).

Avant-propos

 

 

Olivier Nizard, jeune habitant d'une banlieue paisible de la région parisienne, entreprend la recherche d'un sens, ou d'une essence, au microcosme dans lequel il évolue.

D'abord indifférent, insouciant, baignant dans une ambiance plus encore enfantine que bon enfant, en compagnie de ses camarades de classe, peu concerné par les dissensions entre les différentes nationalités qui ne l'effleurent même pas, ou par les appartenances ethniques ou religieuses et leurs interactions, il est amené peu à peu à rechercher un équilibre dans les valeurs universalistes de tolérance, d'acception de la différence, mais n'obtient pas l'écho ou la réciprocité escomptés.

 

Il faut parfois des circonstances particulières pour préparer les conditions au réveil d'une identité enfouie au plus profond de l'être, étouffée ou oubliée, voire inconnue, ou encore réduite à une sorte de folklore. Une vie quotidienne sans histoires, dans une relative aisance, et qui suit tranquillement son cours, sans que ne lui soit recherché un sens profond ou même léger, peut être bousculée par quelque élément au premier abord anodin, insignifiant, mais susceptible de se révéler comme le déclic d'une lente prise de conscience qui n'acceptera plus ce qui avait toujours été admis comme l'évidence d'un quotidien normalisateur.

 

Le contexte du récit qui va suivre relève d'une époque où l'antisionisme ne devait d'aucune façon être assimilé à l'antisémitisme, ou à l'une de ses formes. Il y a de cela un peu moins de trente ans, beaucoup se targuaient de pacifisme, et se rangeaient dans le camp des défenseurs du genre humain au sens large du terme. La judéo-phobie, à quelques exceptions près peut-être, était évitée comme la peste, en ce sens qu'aucun non-Juif respectable n'eût voulu être soupçonné d'entretenir en lui-même des sentiments aussi abjects.

 

En outre, de la libération des camps à la guerre des Six Jours, on jetait sur l'État d'Israël un regard condescendant, c'est-à-dire qu'on le tolérait ; il ne représentait qu'un vaste camp de réfugiés, voire une réserve naturelle provisoire, et était voué, dans les consciences, à plus ou moins brève échéance à l'anéantissement. Si la victoire de cette guerre a pu susciter l'admiration, voire l'émerveillement, tandis que l'on s'apprêtait préalablement à assister à l'extinction de la lumière d'Israël qu'un déferlement de haine sans précédent voulait éteindre, le martèlement médiatique accusateur qui s'ensuivit finit par éroder l'opinion ; et la première guerre du Liban réveilla les démons du passé pour mettre en exergue et déchaîner une fureur qui semblait devoir sommeiller à jamais.

 

La gymnastique intellectuelle et la dialectique destinées à maintenir artificiellement la différenciation précitée, entre les notions d'antisémitisme et

d'antisionisme, n'est plus de mise aujourd'hui, et on en viendrait presque à le regretter. C'est lors de la guerre que nous venons d'évoquer que se produisit, dans l'histoire tranquille et paisible d'une Europe enfin pacifiée, un renversement foudroyant. Jusque là, la haine irrationnelle que d'aucuns vouaient aux Juifs était devenue un sentiment tabou, et beaucoup s'en défendaient. Mais dès lors, la critique virulente et agressive fut de nouveau admise, à condition de la distinguer d'une appréhension d'animosité entretenue envers les Juifs en tant que tels. Bien entendu, ces derniers, présumés solidaires du seul pays où leurs frères n'étaient plus en minorité ou en exil, pouvaient, cependant, d'emblée être pris à partie et soumis à des « interrogatoires » agressifs mais encore uniquement verbaux. La fin d'une période où l'harmonie entre les hommes semblait avoir atteint son apogée commençait à se faire cruellement sentir.

 

Aujourd'hui, l'antisionisme réhabilite officiellement l'antisémitisme, puisque c'est précisément dans le pays de Sion, juif parmi les Gentils, que vivent les « Sémites » concernés. De nombreux pseudo-justiciers se chargent, un peu partout dans le monde, qui n'est peut-être que provisoirement encore libre – puisqu'il est, provisoirement ou non, dévoré petit à petit, tranche après tranche, par un nouveau système totalitaire importé d'Orient – de corriger, par

ce que l'on pourrait appeler leur « antisionito-sémitisme », les membres de cette communauté. La presse fait état presque quotidiennement d'agressions en tous genres ; quant aux pouvoirs publics, ils ont trop tendance à déplorer avec un brin d'ironie et de complaisance, les « manifestations » que la situation au Proche-Orient rend pour eux compréhensibles.

 

Certains héros de ce récit, ou antihéros, sont inspirés d'un ou de plusieurs personnages ayant réellement existé. D'autres sont purement fictifs, en « image de synthèse ». Il en va de même pour les événements, bien que les plus invraisemblables soient souvent les plus révélateurs de la réalité. Ces ressemblances, fortuites ou non, ne devraient pas susciter de protestations, car il y a prescription.

 

Et puis, un mot en passant : les accents et autres particularités du langage de certaines figures sont rendus en français dans le texte, exceptés un ou deux cas précis. …..

Pour rentrer en contact direct avec l'auteur en Israël, en savoir davantage, et commander l'ouvrage directement auprès de l'auteur. (prix de l'ouvrage 80 NIS)

Contact -

yeochouasultan91@gmail.com  

Yéochoua Sultan, POB 1166, 90628 Bet-El - ISRAEL


Bonne découverte !

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 19:01

 

 

 

 

 

J'ai reçu beaucoup de messages me demandant ce que je pensais au sujet des récentes publications sur le virus Stuxnet pouvant avoir un relation avec la Reine Esther ou encore même le fait que le mot Stux donne le mot Deus bref sur toutes sortes de fantaisies qui trainent le net.

Je me suis laissée tenté par un peu de détente et d'humour que nous propose Arié avec brio.

 

Aschkel

 

logo arié

Le code de la Bible et le virus Stuxnet :b:\myrtus\src\objfre_w2k_x86\i386\guava.pdb

Par ARIé - (Avec autorisation)

Pour aschkel.info et lessakele.

 

 

 

 

 

La reine Esther a encore frappé le méchant Aman, pardon, l’ignoble Ahmadinejad, par le biais d’un virus destructeur, et tous les regards se tournent vers Tel-Aviv.

Est-ce bien Israël qui a implanté Stuxnet dans les systèmes informatiques iraniens, afin de paralyser centrifugeuses et autres centrales Boushir?

La réponse est que vous n’en saurez jamais rien, parce que si Tsahal a décidé – pour le moment du moins – de faire l’économie d’une guerre conventionnelle pour traiter la menace iranienne par le biais de la cybernétique, il n’ira pas le crier sur les toits.

De quoi s’agit-il en fait? STUXNET est programmé pour provoquer l’autodestruction d’une fonction critique particulière, soit du déverrouillage de la vitesse de rotation des turbines, et provoque l’arrêt du processus de lubrification et le blocage de systèmes de vannes à un instant t. Astucieux!! A l’intérieur du programme, une ligne a mis la puce à l’oreille des hébraïsants et des amateurs de symboles bibliques. Il s’agit de:

b:\myrtus\src\objfre_w2k_x86\i386\guava.pdb

On y retrouve non seulement le myrte , soit myrtus en latin, mais aussi guava, soit la goyave. A priori aucun rapport entre ces deux espèces, mais à posteriori, on découvre que le goyavier fait partie de la famille des myrtacées à laquelle appartient le myrte; pour bien nous faire comprendre que tout cela n’est pas dû au hasard mais à une volonté délibérée d’injecter de la symbolique biblique dans le virus. Le problème est que le myrte pousse plutôt dans le bassin méditerranéen et que la goyave est un fruit tropical d’Amérique, alors d’où vient le virus ?

La symbolique du myrte en hébreu est d’un grande richesse et dépasse allègrement la reine Esther appelée aussi Hadassa; il renvoie notamment aux trois patriarches, car de la façon dont poussent les feuilles du myrte, d’un même point peuvent sortir trois feuilles: Abraham (à droite) qui incarne la bonté, Isaac (à gauche) qui symbolise la rigueur et Jacob (le bourgeon au centre) qui renvoie sur l’harmonie. Les trois feuilles proviennent chacun d’une même source qui est Hachém. Les trois Avot (patriarches) veillent sur Israël par le biais du Myrte et dans notre cas de SYMANTEC.

J’ai voulu savoir si ce mot Stuxnet « סטוקסנט   » figurait, en hébreu, dans le code de la Bible et je ne l’ai pas trouvé. Puis j’ai pensé que si les pères du virus avaient si bien crypté le myrte, dans leur code, j’aurais tort de ne pas tenter de le décrypter, grâce précisément au code de la Bible.

Or, les Israéliens et les Anglo-Saxons utilisent le clavier QWERTY, à la différence des français qui se servent du AZERTY. J’ai donc cherché la correspondance en hébreu du mot Stuxnet , et j’ai trouvé un mot invraisemblable, à priori sans grande signification, qui phonétiquement pourrait ressembler à AKAMASOAD.

Le terme « virus » en hébreu se dit ToLaaT, qui signifie aussi « ver de terre » et bien évidemment Myrte se dit Hadass. Or quelle a été ma surprise de découvrir que hadass était imbriqué ou infiltré, dansAKAMASOAD. commeb:\myrtus\src\objfre_w2k_x86\i386\guava.pdb s’est infiltré dansStuxnet, et que le mot Tolaat, soit virus, figurait en bonne place, comme le mot Iran d’ailleurs.

Hasard, coïncidence, je n’en sais rien, l’important, après tout, c’est de dérégler le système iranien et que le virus vienne de Biélorussie, d’Israël, du Pentagone ou qu’il soit à l’initiative d’un groupe de hackers indépendant, il est le bien venu. Ses auteurs méritent une couronne de myrte autour de leur tête.

Le peuple d’Israël a fêté Souccot, la fête des cabanes, a agité les quatre espèces, dont fait partie, évidemment, le myrte, qui, lui, continue à faire son travail de sape afin que les ennemis d’Israël apprennent qu’il ne fait pas bon de s’en prendre à lui. L’Iran ferait mieux de s’occuper de ses concitoyens qui mériteraient plus de pain et plus de liberté.

 

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 19:00

Toda rabba Alain

Merci Beaucoup pour cet envoi

 

אנימצייה רוסיה לפי ציורי מרק שאגאל 

take a look at this.gif

 

 


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